Biblioblog

En septembre, Hitler avait envahi la Pologne. La France entrait en guerre et subissait les assauts des blindés allemands. Pendant que Pétain signait un armistice avec l'ennemi, un général lançait un appel à la résistance depuis Londres. C'est vers ce moment que Raymond et son frère, âgés de 18 à 20 ans, entrent en résistance. Désormais, on l'appellera Jeannot.

Vincent, pilote de ligne, est plongé dans le coma suite à une accident de moto. Les médecins ne trouvent sur lui qu'un papier avec les coordonnées d'une certaine Florence. Amie perdue de vue depuis quelques temps déjà, elle est l'unique personne à se rendre quotidiennement à son chevet.

Il y a quelques semaines se tenait à Montpellier La Comédie du Livre. Pleine de bonnes résolutions, je déambulais entre les stands, en m'étant promis de ne rien acheter.
Arrivée à l'étal de la Maison Antoine Vitez, qui a publié l'excellente pièce de Naomie Wallace, mon œil est attiré par ce titre. Une nouvelle lecture du mythe d'Antigone? Au diable les bonnes résolutions, je ne pouvais décemment pas passer à côté de cet ouvrage.

C'est l'histoire d'une petite fille qui s'appelle Mina et qui est amoureuse de Raphaël.
Mais elle apprend que Raphaël ne l'aime pas et du coup elle est vraiment très très très fâchée. Elle le hait.

Il est vieux ou jeune, beau ou laid, attirant, riche, mendiant édenté... Tout à la fois mais aussi rien de tout ça. Il est certainement l'homme le plus puissant qui ait jamais vécu sur Terre et peut-être l'un des plus torturés. Et surtout, pour son bonheur ou son malheur, il est le fils du Diable...

Une histoire d'amour, intemporelle
Entre mythe et réalité.
Entre poésie et sang de batailles
Un des plus grands destins du monde

Sur une petite île perdue au milieu de l'océan, appelée Lumerland, vivaient 4 humains : Monsieur Manche, Madame Comment, le Roi Alphonse Midi-Moins-Le-Quart et Lucas, un des deux personnages principaux. Lucas est le chauffeur d'Emma, la locomotive.
Un colis arriva sur l'île et dedans il y avait un petit garçon qui s'appelait Jim Bouton, le deuxième personnage principal.

Lire ou ne pas lire ? Là semble être la question quand on aborde de front l’essai de Pierre Bayard dont le titre laisse croire à une farce sarcastique. Neni ! La question est plutôt : qu’est-ce donc que la lecture ? A fortiori, qu’est-ce que la non-lecture ?

C'est toujours émouvant de lire un premier roman le mois de sa sortie. Je suppose aussi que Luce Delobre doit-être particulièrement attentive à ce qui est dit de son "bébé".
Alors voici, modestement, ce que j'en ai pensé.

J’ai découvert la plume d’André Brink il y a déjà fort longtemps. C’était au moment où je voulais tout lire sur l’Apartheid. Cet auteur, comme Nadine Gordiner, symbolisait pour moi, la lutte contre ce mode de régime, heureusement disparu. Bref, voici pour le contexte de la première rencontre avec cet auteur de très grand talent. Avec la lecture de Une saison blanche et sèche et de Un turbulent silence, j’ai été définitivement conquise par le style d’André Brink. Marquée au fer rouge.

La photo en première de couverture m’intriguait et me faisait signe, une clef dans un pot de peinture rouge, avec ce titre : Vous plaisantez monsieur Tanner, comme un avertissement, un signe annonciateur. Alors j’ai pris la clef mais pas des champs. Mais celle d’une demeure, imposante et vieille dont "les carrelages branlaient comme de vieilles dents… " et j’ai accompagné Paul. Héritier de feu son oncle, et néanmoins heureux propriétaire de cette bâtisse pour laquelle il décide de mettre en vente "sa maison agréable…Le jardin, enroulé sur lui-même, pareil à un vieux chat qui dort…" afin de la restaurer et de goûter à la quiétude, une fois les travaux -nombreux- terminés.

Si Dany Laferrière a connu la gloire grâce à un premier roman que peu de gens ont lu mais dont tout le monde connaît le titre – Comment faire l’amour avec un Nègre sans se fatiguer ? – il se devait de frapper au moins aussi fort avec le titre des prochains. Tâche accomplie pour celui-ci.

Dans la nuit Mozambique est un recueil de quatre récits où l’auteur y concentre avec une maîtrise parfaite les émotions qu’il fait habituellement éclater dans ses romans. On y retrouve celles de Cris, de La mort du roi Tsongor et même un rappel de la vie de ces clandestins croisés dans Eldorado.

Il y a quelques mois, j'ai eu la chance de rencontrer Fred Paronuzzi lors de la sortie de son tout dernier roman : La lettre de Flora. Très vite l'idée d'une interview de l'auteur s'est imposée. Je me suis donc plongée dans les lectures de ses deux premiers romans : 10 ans 3/4 et Comme s'ils étaient beaux pour préparer quelques questions.
Tout d'abord, je tiens à remercier Fred pour avoir si gentiment et spontanément accepté le principe de cette interview pour notre Biblioblog.

Maintenant, je laisse nos lecteurs, lectrices découvrir cet entretien et rencontrer un homme, un écrivain d'une grande générosité.