Vos sept vies pour dire que ce n'est pas tout à fait ici
Pas tout à fait soi-même
Pas tout à fait nulle part
Serait-ce partout, tout le temps, tout le monde?
Edit à 18h35 : il s'agissait de D'ailleurs de Gilles Jobidon
2005-2015 : pendant 10 ans, Bblioblog a proposé des critiques de romans et des énigmes hebdomadaires. Le site est aujourd’hui accessible en archive. Et n’oubliez pas : les livres nous chuchotent des secrets faits pour être partagés.
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Hautdimanche 30 novembre 2008
Par Les Biblioblogueurs le dimanche 30 novembre 2008 - Énigmes
Vos sept vies pour dire que ce n'est pas tout à fait ici
Pas tout à fait soi-même
Pas tout à fait nulle part
Serait-ce partout, tout le temps, tout le monde?
Edit à 18h35 : il s'agissait de D'ailleurs de Gilles Jobidon
samedi 29 novembre 2008
Par Dédale le samedi 29 novembre 2008 - Courts romans
Comme nous avons eu droit en littérature à Ving-quatre heures de la vie d'une femme, nous voici avec les six jours de la vie d'un tueur à gages, un vrai, un pro. On pourrait croire en commençant ce journal que l'on va avoir droit à une série de meurtres commandités, mais ce serait sans compter avec l'humour sarcastique de Luis Sepulveda. On connaît cet auteur chilien pour son superbe Le vieux qui lisait des romans d'amour, et c'est une très belle surprise que de le découvrir dans un roman humoristique avec ce Journal d'un tueur sentimental.
vendredi 28 novembre 2008
Par Laurence le vendredi 28 novembre 2008 - Courts romans
Le médecin est formel : la maladie est bien installée et il ne reste à Mariana que quelques semaines à vivre. Quelques semaines, c'est court et en même temps suffisant pour remonter le fil de son histoire. Partagée entre désespoir et désir de vivre, elle se souvient....
jeudi 27 novembre 2008
Par Catherine le jeudi 27 novembre 2008 - Littérature anglophone
Un trou perdu dans le Colorado : les plaines et la vie qui au premier coup d'oeil semble roulée aussi platement que le paysage. Pourtant, ici et là, à Holt, des personnages attachants cherchent leurs repères.
mercredi 26 novembre 2008
Par Laurence le mercredi 26 novembre 2008 - Nouvelles et recueils de nouvelles
À la recherche d'une courte lecture entre deux romans plus constitants, j'ai choisi ce recueil de Leïla Marouane, publié par les éditions Mille et une nuit. Dans la même collection, j'avais déjà lu et apprécié deux courts récits de José Carlos Somoza, Le détail et La bouche.
Ici, Leïla Marouane nous propose deux contes miroirs sur l'Algérie et la France.
mardi 25 novembre 2008
Par Dédale le mardi 25 novembre 2008 - Littérature française
Cela se passe dans une résidence, dans une ville où il pleut sans discontinuer depuis des semaines, depuis une éternité. Dans cette résidence qui se noie lentement, vidée de ses habitants, deux hommes sont restés, comme en résistance avec leurs souvenirs, ignorant les avis d'expulsion. C'est ce que nous raconte Gilles Perez avec Le goût des abricots secs, son tout premier roman.
lundi 24 novembre 2008
Par Catherine le lundi 24 novembre 2008 - Littérature française
Rentrée littéraire 2008
Émile est un garçon comme les autres, élevé dans une petite ville de Tchécoslovaquie au XXe siècle. Il n'aime pas beaucoup le sport jusqu'au jour où on fait courir quelques Tchécoslovaques contre quelques jeunes Allemands pendant l'occupation de la Seconde Guerre mondiale. Alors, Émile, se rend compte qu'il aime bien courir... mais surtout qu'il court assez vite.
dimanche 23 novembre 2008
Par Les Biblioblogueurs le dimanche 23 novembre 2008 - Énigmes
Parfois avec l'amour rien ne va plus.
Mais à la fin, tout s'arrange.
Edit à 18h38 : il s'agissait de Journal d'un tueur sentimental de Luis Sepulveda
samedi 22 novembre 2008
Par Les Biblioblogueurs le samedi 22 novembre 2008 - Relectures
Il y a parfois des coïncidences amusantes... Voilà que deux de nos rédacteurs, sans s'être concertés, lisaient le même roman au même instant. Cœurdechêne fut le premier à nous proposer ses impressions sur La route de McCarthy, c'est donc aujourd'hui le tour de Catherine.
Un même livre, lu de part et d'autre de l'océan, au même moment, donnera-t-il lieu à un même regard ? Pour le savoir, il suffit de suivre le lien ci-dessous.
Laurence
vendredi 21 novembre 2008
Par Laurence le vendredi 21 novembre 2008 - Nouvelles et recueils de nouvelles
Le blog n'avait que quelques mois d'existence quand je parlais pour la première fois de Gérard Sire. Certes, le billet était pour le moins succinct, mais j'avais, et j'ai toujours, beaucoup de tendresse pour son recueil de nouvelles "Contes pour rêver" (tirage aujourd'hui malheureusement épuisé). En allant donc au salon du livre en mars dernier, j'avais profité de la présence de la maison d'édition HB pour me procurer le second recueil "Papillon de nuit" publié il y a presque 10 ans maintenant. Et puis, d'une chose à l'autre, je n'y ai plongé mon nez que ces derniers jours.
jeudi 20 novembre 2008
Par Jnf le jeudi 20 novembre 2008 - Poésie
Les écritures portent des univers. Celle de Pierre Dhainaut s’associe d’abord au paysage de la Flandre et de la mer, que le poète accueille « la vague immense qui déferle » ou se recueille devant « les croix que laisse un oiseau sur le sable ».
mercredi 19 novembre 2008
Par Laurence le mercredi 19 novembre 2008 - Polars, thrillers et romans noirs français
En cherchant Première ligne de Jean-Marie Laclavetine, je suis tombée sur cet autre récit à la quatrième de couverture plutôt alléchante et intrigante : " Je ne souhaite à personne de devenir Dieu. C'est un travail de chaque instant. Inventer, inventer, faire face aux imprévus, aux récriminations des créatures, un travail de damné. Au commencement était le Verbe ! Mais ensuite vinrent les compléments, et je suis fatigué. " Dieu, le narrateur, ayant décidé un jour de faire une tournée d'inspection sur la Terre, s'est incarné parmi les hommes.
Une farce mettant "Dieu" en scène, après tout pourquoi pas... Et pourtant, je sais bien que je dois me méfier des quatrièmes de couverture....
mardi 18 novembre 2008
Par Dédale le mardi 18 novembre 2008 - Littérature anglophone
Ces derniers temps, il m'était très difficile de me concentrer sur mes lectures. J'ai bien tenté plusieurs titres différents mais rien n'y a fait, à chaque fois, je n'y comprenais absolument rien. Ayant voulu me plonger dans La mer de John Banville, suite au billet de Bernard, la tempête intérieure sans remous du narrateur n'a fait que me couler un peu plus.
lundi 17 novembre 2008
Par Ys le lundi 17 novembre 2008 - Littérature anglophone
« Cela fait des années que je m'intéresse, professionnellement, aux rapports amoureux catastrophiques fondés sur l'obsession sexuelle. » Ainsi débute ce sombre roman, par la prise de parole du médecin narrateur, Peter Cleave, qui raconte l'histoire d'amour désastreuse de Stella Raphaël, femme du médecin chef adjoint de l'hôpital psychiatrique où est interné celui qui va devenir son amant, Edgar Stark. Celui-ci est enfermé dans cet asile psychiatrique de haute sécurité depuis cinq ans pour avoir massacré sa femme qu'il soupçonnait d'infidélités multiples. Mais pour Stella, Edgar n'a rien d'un fou : c'est un bel homme, charmeur qui fait attention à elle et la comble sexuellement. Rien a voir avec son psychiatre de mari, solitaire et enfermé dans son travail.
dimanche 16 novembre 2008
Par Les Biblioblogueurs le dimanche 16 novembre 2008 - Énigmes
Il y a peu de l'amour à l'amour fou, créateur ou destructeur ;
C'est une question de point de vue. Et de survie.
Edit à 18h33 : Il s'agissait de L'Asile de Patrick McGrath
samedi 15 novembre 2008
Par Catherine le samedi 15 novembre 2008 - Littérature québécoise
La narrateur de ce roman a décidé qu'il souhaitait écrire un roman, une grande oeuvre comme il ne s'en fait plus. Convaincu que la littérature et l'art, surtout le grand, n'existe que dans la souffrance, il est près à tout pour sombrer dans le grand malheur qui lui permettra d'écrire son chef-d'oeuvre.
vendredi 14 novembre 2008
Par Laurence le vendredi 14 novembre 2008 - Littérature francophone
Rentrée littéraire 2008
Beaucoup de blogs avaient parlé de ce roman au moment de sa sortie, mais comme je n'avais pas été renversée par Le libraire, j'ai laissé passer quelques semaines avant de m'y plonger.
L'histoire est maintenant connue : un homme se réveille un matin et découvre qu'il est dans le corps de sa femme et vice et versa. De cette transmutation, ce couple qui était au bord de la séparation va apprendre à se redécouvrir.
jeudi 13 novembre 2008
Par Dédale le jeudi 13 novembre 2008 - Littérature française
C'est au Costaguana, une république imaginaire d'Amérique latine que l'on retrouve les traces du mystérieux écrivain B. Osborn. Hors, cet homme qui a passé sa vie à fuir, à se cacher sous différentes identités, est décédé. Qui pouvait-il être, lui au talent reconnu mais si méconnu de tous, même des personnes qui lui étaient très proches. C'est ce mystère que Eric Faye tente de nous expliquer dans son roman L'homme sans empreintes.
mercredi 12 novembre 2008
Par Catherine le mercredi 12 novembre 2008 - Bandes-dessinées
De courtes planches qui rappellent les comics des journaux, mais une histoire qui se suit malgré tout, celle d'un jeune auteur (oui, vraiment...) qui tente d'écrire sa première oeuvre, scotché devant son ordi.
mardi 11 novembre 2008
Par Laurence le mardi 11 novembre 2008 - Romans historiques
Aujourd'hui, nous sommes le 11 novembre 2008. Cela fait 90 ans que l'armistice de la Première Guerre mondiale a été signé. Moins d'un siècle et pourtant une éternité. En quelques années, la distance s'est démultipliée car les témoins directs ne sont malheureusement plus là pour témoigner. Je me souviens, enfant, des après-midi passées avec mon arrière-grand-père, qui me parlait de "sa" guerre, celle qui lui avait coûté une jambe. Mon arrière-grand-père n'est plus, mais il nous a laissé un manuscrit où il raconte l'horreur des tranchées. Pourquoi je vous dis tout ça aujourd'hui ? Parce qu'en lisant La peur de Gabriel Chevallier ( ré-édité ce mois-ci aux éditions du Dilettante ), j'ai retrouvé la guerre dont me parlait mon arrière-grand-père : la cruauté, l'absurdité, la terreur...
La peur est paru pour la première fois en 1930 et a provoqué la colère de l'armée de métier. Ce n'est pas vraiment un roman d'ailleurs, mais bien une autobiographie ( même si Gabriel Chevallier donne un autre nom - Jean Dartemont - à son narrateur ) : Gabriel Chevallier a été enrôlé en 1914, dès les premières semaines de conflit, et il ne sera rendu à la vie civile que le jour de l'armistice. 4 années de guerre, 4 années de peur, 4 années de non-sens.
lundi 10 novembre 2008
Par Catherine le lundi 10 novembre 2008 - Littérature québécoise
La page couverture l'annonce: il s'agit d'un récit. Comprendre que ce n'est pas un roman. Le récit d'un homme de bientôt 39 ans qui n'aime pas la vie.
dimanche 9 novembre 2008
Par Laurence le dimanche 9 novembre 2008 - Nouvelles et recueils de nouvelles
Comme nous vous l'avions annoncé la semaine dernière, il n'y pas d'énigme ce soir. Pourtant, je n'ai pu me résoudre à laisser passer l'heure sans vous faire un clin d'œil. En lieu et place de l'éngime, je vous propose donc un très court roman de Mary Dollinger.
samedi 8 novembre 2008
Par Pimpi le samedi 8 novembre 2008 - Les Classiques
Jean Muir est gouvernante. Quand le rideau se lève, la famille Coventry est installée dans le salon à attendre son arrivée. La famille Coventry, c'est Mme Coventry, une femme d'un certain âge, souffrant de maux réels ou imaginaires, Gérald Coventry, héritier du nom et aîné de la famille, Edward Coventry, le fils cadet et Bella Coventry, la petite dernière, celle qui est sensée recevoir les bons soins et l’éducation de Mlle Muir. Il y a également Lucia Beaufort, la cousine, amoureuse de Gérald et, Sir John, l'oncle des jeunes gens et immensément riche.
vendredi 7 novembre 2008
Par Catherine le vendredi 7 novembre 2008 - Littérature francophone
Colin, le narrateur de ce petit roman, s'est enfui de son bidonville avec sa grande soeur Mariéla. Ils ne peuvent pas aller bien loin... mais aller au Champ-de-Mars, dans le «vrai» Port-au-Prince, quand on est né dans le plus pauvre des pauvres, c'est déjà quelque chose comme un exil.
jeudi 6 novembre 2008
Par Catherine le jeudi 6 novembre 2008 - Littérature francophone
2004: année du bicentenaire de l'indépendance d'Haïti. En ce jour du début de l'année, on fêtera cet anniversaire avec des manifestations. C'est qu'ils sont quand même quelques-uns, entre autres des groupes étudiants, à trouver qu'il n'y a pas tant que ça a fêté pour ce 200e anniversaire.
mercredi 5 novembre 2008
Par Laurence le mercredi 5 novembre 2008 - Littérature française
Rentrée littéraire 2008
Cette recension peut paraître étonnante si l'on est un habitué de ce lieu : un roman traitant de la question juive paru chez Héloïse d'Ormesson avait tout pour me faire fuir (voir ce billet). Mais justement, il ne faut pas rester sur des a priori et j'étais curieuse de voir si L'ordre des jours de Gérald Tenenbaum pourrait me réconcilier avec cette maison d'édition.
mardi 4 novembre 2008
Par Catherine le mardi 4 novembre 2008 - Nouvelles et recueils de nouvelles
Ce très court recueil regroupe trois nouvelles extraites du recueil Sous les draps et autres nouvelles. Elles dépeignent toutes des univers réalistes peuplés de gens habités d'une certaine perversité.
lundi 3 novembre 2008
Par Laurence le lundi 3 novembre 2008 - Littérature européenne
Il y a parfois sur les étagères de nos bibliothèques d'étranges résidents. Ils sont là, un peu oubliés; on ne sait plus très bien si on nous les a offerts ou si on les a achetés (et dans ce cas là, pourquoi) et depuis quand ils dorment ainsi sans qu'on les voie. Et puis, un beau matin, on s'aperçoit de leur présence, on est un peu étonné, et la curiosité nous titille suffisamment pour qu'on les déloge de leur retraite.
C'est exactement ce qu'il m'est arrivé avec ce roman : vous dire pourquoi et comment ce livre, écrit par Cesare Battisti, célèbre activiste italien, s'est retrouvé dans ma bibliothèque, j'en serai bien incapable; mais justement, ce mystère m'a intriguée juste ce qu'il fallait pour que je me décide à le lire.
dimanche 2 novembre 2008
Par Les Biblioblogueurs le dimanche 2 novembre 2008 - Énigmes
Des yeux innocents mais un regard calculateur
Des paroles aimables mais des pensées cyniques
Un sourire enjôleur mais un rire sarcastique
Edit à 18h36 : il s'agissait de Derrière le masque de Louisa May Alcott
Par Les Invités le dimanche 2 novembre 2008 - Littérature jeunesse
Il est des livres qu’on lit sans s’en rendre compte, qu’on adore directement et qu’on relit avec plaisir. Ca s’appelle des coups de cœur. Anibal est mon premier coup de cœur.
samedi 1 novembre 2008
Par Laurence le samedi 1 novembre 2008 - Relectures
En fait, ce n'est pas précisément parce que j'avais parlé de Brooklyn Follies que Catherine s'y est intéressée. Pour tout dire, ce roman a été sélectionné par le Blogoclub et comme nous sommes le 1er novembre, Catherine vient compléter le billet écrit il y a quelques mois. Pour voir si a elle aussi aimé ce roman, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous :
Brooklyn Follies de Paul Auster
Laurence