Biblioblog

Septième ouvrage de la série des aventures du capitaine Alatriste, Le Pont des Assassins ravira les amateurs. Un bref rappel pour ceux qui ne connaissent pas encore ce personnage créé par Arturo Pérez-Reverte : le capitaine Alatriste, ancien soldat des Flandres, est un spadassin au service du roi d’Espagne Philippe IV et surtout du tout-puissant comte-duc d’Olivares, favori du Roi. Une mission périlleuse, (elles le sont toutes), l’emmène cette fois à Venise, mandaté par le poète Francisco de Quevedo, qui a retrouvé pour un temps la faveur royale.

 Serge a tout pour être heureux.  Une femme de trente ans plus jeune que lui, douce et belle. Deux enfants superbes. Un métier d’agent immobilier qui lui permet de vivre « à la campagne » en plein Paris.

À l’écart d’un gros bourg de province, Martens, un grand parc divisé en deux parties inégales. Une rivière traverse le parc. De part et d’autre de l’Agon se dressent deux maisons, les Cygnes où habitent Mylène, ses parents et grands-parents et Rond-Buisson où vit Younis et sa famille. Du même âge, ils passent leurs journées ensemble et sont amoureux l’un de l’autre, amour passion, amour fusionnel, amour à la vie à la mort…

Le métro parisien est l'un des endroits où l'on rencontre le plus de lecteurs. Il est vrai que se plonger dans un livre est un bon moyen de passer le temps subi des transports. Pourtant, il est parfois intéressant de jeter un œil autour de soi, pour saisir les originalités des autres voyageurs ou des situations inattendues. C'est ce qu'a fait Bertrand Guillot et qui lui a permis de rédiger ces chroniques de métro.

Ce tout petit livre de soixante pages est au premier abord très déconcertant. On y découvre une héroïne au sein d’une famille bourgeoise dans les années 1970, se livrant en toute innocence à des débats érotiques en famille.

Pour son premier roman, Sylvain Pattieu embarque son lecteur dans deux univers a priori très différents : un lycée de banlieue d'une part puis celui d'un grand magasin de meubles et de décoration. Deux lieux géographiques distincts mais également soumis aux codifications et aux cloisonnements.

 Alors que le Goncourt 2012 vient de récompenser l'excellent roman de Jérôme Ferrari, Le sermon sur la chute de Rome, j'ai eu envie cette semaine de vous parler de celui qui avait remporté le Goncourt il y a déjà 35 ans, et qui a permis à son auteur d'être le seul romancier à avoir obtenu deux fois cette célèbre récompense.

Il y a un mois, je ne pensais pas que j'étais sur le point de réaliser ma première interview sur le Biblioblog ! L'auteure Amruta Patil passant quelques jours à Paris à l'occasion de la sortie de Parva, il fallait se décider très vite... Quiconque lira mon billet sur Parva comprendra que j'ai adoré ce livre. Ce fut donc avec un réel plaisir que je suis allé poser quelques questions à l'auteure. Dépourvues de toute superficialité, ses réponses m'ont passionné. J'espère que cet échange saura susciter un intérêt pour le Mahābhārata en général et pour Parva en particulier aux lecteurs qui ne seraient pas déjà familier de la grande épopée indienne.

(J'ai utilisé ici la transcription scientifique des mots sanskrits. Ayez simplement en tête que les voyelles surmontées d'un trait sont longues, que « u » se prononce comme « ou », que « ṛ » se prononce comme « ri », que les « s » sont sourds et que si un « s » est décoré d'une manière ou d'une autre, il se prononce à peu près comme « ch ».)

Joël

Parva est le premier volume d'une trilogie consacrée au Mahābhārata, la grande épopée indienne. Ce livre, aussi intéressant pour son texte que pour ses images, est un roman graphique, le deuxième de l'auteure Amruta Patil.

Edit à 18h30 : il s'agissait du Coup du Lapin d'Andy Riley

Une histoire de libraire, un hommage à la puissance des livres, voilà un roman qui ne pouvait a priori que me plaire. C'est donc pleine de bonnes intentions que j'ai ouvert la porte de la librairie des Matins à la rencontre de sa  propriétaire.