En fait, dans ce court texte, le narrateur est un jeune garçon ignorant tout des choses de l'amour et du sexe. Au fil des pages de cette nouvelle, il ira de découvertes en découvertes : à quoi ressemble un sexe de femme, qu'est-ce qu'une érection, que font les adultes seuls dans leur chambre, de quoi parle sa mère dans le confessionnal...
Apollinaire, avec beaucoup d'humour, brosse ici le parcours initiatique d'un futur Dom Juan.
Éditions Folio 2€ - 109 pages
Commentaires
dimanche 2 octobre 2005 à 23h36
A la première question, je réponds : "oh oui"!
dimanche 12 novembre 2006 à 22h57
As-tu lu "Les onze mille verges", autre romaon érotique d'Apollinaire ?
Souvenir d'un de mes grand émoi littéraire (et sensuelle) d'adolescente.....
lundi 13 novembre 2006 à 07h43
Non, je n'ai pas encore eu ce "plaisir"
jeudi 10 juillet 2008 à 16h11
c'est dégueulasse! :o J'ai même pas su le finir... On aurait au moins pu mettre un résumé expliquabntle genre du texte our pas choquer les vierges :o
vendredi 17 juillet 2009 à 14h47
La personne qui a posté un commentaire grotesque le jeudi 10 juillet 2008 à 16 h 11 sous le pseudonyme de "la jeune" doit être sacrément coincée et elle devrait au plus vite consulter un expert en sexologie et en psychanalyse !...
Ce qui peut être (sic) "dégueulasse", choupette (ou alors doit-on te considérer encore pucelle ?), à propos du "cul", du "con" ou du "vit", c'est le regard que l'on pose sur eux, et non point ces organes que la noble Nature a voulu présent chez chacun (ne)...
De ce fait, ce qui est proprement "dégueulasse" c'est de se laisser aller à ce genre de qualificatif envers un chef-d'oeuvre ("Les Onze mille verges") de la littérature, et un second ouvrage, un peu moins réussit, mais tout de même amusant...
Finissons-en avec les pisse-froids qui ne peuvent ni bander ni mouiller...
Avec nos étripatouillages tout plein de crême onctueuses...
Tonton Dodolphe le grouin dedans
samedi 16 janvier 2010 à 14h29
eh bien lisez: les lettres à Madeleine rééditées chez folio, c'est très souvent d'une grande beauté poétique mais aussi d'un érotisme puissant amenant l'auteur à un presque "toucher à distance" (cf l'Hérésiarque)il initie Madeleine à l'amour physique en termes poétiques mais très réalistes
ces lettres ont été écrites à Madeleine Pagès lors du séjour de Guillaume Apollinaire au front en 1915 juste avant sa blessure
en ce qui concerne les onze mille verges c'est de la gnognote
Pierril
dimanche 17 janvier 2010 à 11h19
Bonjour Pierril; merci pour votre commentaire et vos références. Je dois avouer que nous avons totalement délaissé ce genre littéraire sur le site et c'est un
tordtort. Nous essaierons d'y remédier.lundi 15 novembre 2010 à 11h12
Madame, vos torts me paraissent bien tordus. Où peut-on venir vous les redresser un peu ? Aux petits mots de travers, les grands remèdes.
Cela dit, merci : je pense savoir où passeront mes deux prochains euros dépensés en livre...
lundi 15 novembre 2010 à 12h58
Anton : vous avez raison, je me tords un peu trop
Par contre, depuis ce dernier message, nous avons mis en ligne un autre billet dans la même catégorie. Il s'agit d'une nouvelle de Claude Chambard. Peut-être aurez-vous envie de l'ajouter elle-aussi à votre liste. 
dimanche 15 avril 2012 à 16h05
Je ne connais pas encore ce texte d'Apollinaire, il est vrai que c'est moins connu qu'Alcools mais je vais le commander tout de suite! Merci de cet article!